Salut à toi, lecteur. Te revoilà déjà, à guetter un de mes articles ? Bon, d'accord, je t'ai probablement récupérer dans ma base d'amis/contacts internet, et forcé à lire ce blog. Je suis comme ça après tout. Aujourd'hui, on parle d'un livre, uniquement un, mais qui appartient pourtant à une série de livre. Je vais vous évoquer l'Histoire, puisque le livre, fictif, se déroule dans un contexte réel et assez important : la grande reforme religieuse d'Angleterre, à l’époque d'Henry Tudor. Laisse moi deviner : tu ne sais pas qui c'est ? On va y revenir, t’inquiète mon petit.
Le livre, en premier, est, comme le titre de l'article l'indique si tu l'as lu, "Les larmes du Diable" de l'auteur C.J. Sansom. Le titre est en soit un indice de ce dont va traiter le bouquin, tout comme le titre original, "Dark Fire". Je n'ose même pas attendre de toi que tu sache quel est l'indice, je vais donc te le donner moi même: ce sont des surnoms du feu grégeois.
Je me doute que tu as vu Game Of Throne (Le Trône de Fer en français, toi qui ne connait que la version française, mécréant) et si tu as un minimum de gout, tu as lu GoT. Donc en tout état de cause (je te préviens, lecteur, voici un spoil) lors du siège de Port-réal, notre ami Tyrion-le-nain-qui-defonce-des-culs-et-n'est-pas-encore-mort défend la ville en utilisant les réserves de feu grégeois que le Roi Fou avait laissé en stock, en prévision de faire cramer la ville. Évidemment il ne l'a jamais fait puisqu'il s'est fait péter le cul (non sexuellement) par Jaime Lannister (qui était sensé être son garde). Bref, tu vois le feu qui crame les bateaux même sous l'eau? C'est ça, les Larmes du Diable.
Donc, pour le moment tu es sensé comprendre que le livre va évoquer, en gros, la mort, les flammes, le pouvoir royal et la religion. Si tu n'as pas compris, retourne deux paragraphes plus haut. Si tu veux du sexe, va voir GoT où les articles du Blond à Lunettes. Tu peut aussi écouter les lives "Radio Libre" de Benzaie sont aussi d'excellent vecteurs de connaissances relative au sexe. Pour revenir sur le contexte, car je présume que tu n'a pas cherché qui était Henry Tudor depuis le début de cet article, on le connait sous le nom de Henry VIII. Toujours rien ? Tu vois Barbe Bleu ? C'est un classique, si tu ne connais pas, va l'acheter à la plus proche librairie, celle à coté du bar Mitsva. Lis le et reviens nous. Toi, oui toi, qui connais Barbe Bleu, merci. Henry Tudor, c'est un des rois qui a inspiré le personnage (qui est inspiré de différents personnages réels au passage). C'est le roi qui avait la légère tendance négative de faire couper la tête de ses différentes femmes à la Tour de Londres. Brave homme, n'est-ce pas ? Il est connu aussi pour avoir dirigé le pays sous la Reforme. Hum, tu me désespère, lecteur.
La Reforme, c'est quoi ? Ne le nie pas, je le vois au fond de tes yeux à travers mon écran! Et ne me demande pas comment je le fais. Sache le juste. Le pays d'Angleterre a, dans les années 1500, décidé d'envoyer gaiment balader le pape. Mais genre vraiment, de manière un peu sale. Globalement, à cette époque, le protestantisme pointe son nez un peu partout et le roi d'Angleterre se dit que c'est le bon moment pour récupérer le contrôle de tout le pays (en devenant le chef religieux du bled) et au passage 1/3 du pays. Oui, 1/3 du pays. Pourquoi me dit tu ? C'est bien simple, en expropriant les religieux et religieuses du pays et de récupérer les domaines pour la couronne. Qu'il a ensuite refilé à ses sous fifres histoires d’être soutenu par l’élite. Qu'on soit d'accord, ce type là n'est pas un mec qui à la foi. Non, vraiment pas. Il a changé d’épouse pour des raisons simples: il en avait marre. Et la suivante lui apportait le soutien de la faction la plus intéressante du moment. Ainsi il a un moment Anne de Cléves qui soutien la reforme et à donc des appuis des réformistes. Puis il l'a tue. Et se met avec la nièce du Duc de Norfolk, Catherine Howard, conservatrice. Ça en fait des informations, hein ? Et on a pas entamé le livre encore ! Sache que j'aime ta souffrance.
Je vais m’arrêter là car je pourrais continuer des heures sur qui est le Duc de Norfolk, qui est Thomas Cromwell, Thomas More, Richard Rich, etc... Mais je sais, tu t'en fou. C'est un article sur un livre, par sur l'Histoire. Le truc que tu dois retenir, c'est que dans les années 1500 c'est la merde. Notre héros est un avocat bossu, travaillant pour Cromwell (Wikipédia est ton ami), ce qui ne l’enchante pas énormément mais bon, vu le patron, tu ne dis pas non. Tu peux dire non, hein, mais tu en meurt. Donc les gens ont tendances à dire oui. Dans le premier tome, qui s'appelle Dissolution, notre héros va avoir une affaire à résoudre dans un monastère au début de la reforme. Il appartient d'ailleurs aux réformateurs, tout comme Tommy (notre ami Cromwell, autant lui donner un surnom, c'est plus agréable). Ne l'ayant pas lu, je ne donne pas d'avis ; notons tout de même qu'il a obtenu le prix "Ellis Peters" (tu ne connais pas? Inculte.) pour le livre que nous traitons aujourd'hui, et je pense donc, surtout au vu du style d’écriture du tome 2, que cela ne doit pas être trop mal. Dans le-dit tome, donc, notre avocat bossu se voit dans l'obligation rapide de trouver le feu grégeois. En effet un employé de la Cour des Augmentations, l'organisme chargé de répertorier les biens de l’Église en Angleterre et de les vendre au profit de la couronne, trouve par hasard un baril de feu grégeois (qui à ce stade aurait une apparence de goudron noir un peu dégueux, mais vu qu'on ne sait plus en faire on sait pas vraiment en fait) et une page contenant la recette (perdue depuis la chute de Constantinople quand même!). Évidemment, l'employé décide d'en profiter et fais miroiter le "feu noir" à Tommy. Qui en parle au roi. Qui lui demande une démonstration. Qu'il ne peut pas réaliser à cause de la disparition du premier gus. Dommage, hein ?
C'est donc durant l'été 1540 que notre avocat se voit assigner cette mission délicate de retrouver le disparu et surtout les larmes du diable. Lecteur, je te préviens, voici le spoil ultime du livre, fuis loin, loin d'ici dans ce lieu magnifique qu'on appelle les livres et lis moi ce livre avant de revenir. Shardlacke, notre avocat bossu, va tomber sur un pot aux roses et comprendre que Tommy est en fait le jouet d'un complot visant à le faire tomber au profit du Duc de Norfolk. Bien qu'il mette pas mal de temps à s'en rendre compte, l'auteur arrivant très brillamment à nous surprendre et à nous perdre dans son récit et cette course contre la montre, quand il trouve la solution de l’énigme et qu'il l'a livre (jeu de mot avec la monnaie du pays) au conseiller le plus proche de Tommy, qu'on s'attend tous à une fin heureuse... Tommy est exécuté. Oui. En effet, dans l'Histoire, le vraie avec le H majuscule, Tommy est arrêté en plein conseil (il est premier ministre du pays, je te le dit à toi lecteur qui ne connait pas Tommy et n'a pas cherché qui il était) pour haute trahison et meurt quelques temps après. Sauf qu'aujourd'hui encore, on ne sait pas trop pourquoi. La raison la plus probable est que notre camarade Henry en à juste eut marre des réformistes, qui perdent du pouvoir en Angleterre au profit des conservateurs, et comme à son habitude choisit la voie rapide : la décapitation !
Un problème, un élément gênant de votre entourage, une femme récalcitrante, ou juste moche ? Choisit la méthode Tudor, choisit la décapitation !
Condition d'utilisation au dos de la hache fournit dans le pack "Ami","Mégère","Thon" et dans le pack spécial "Découverte".
Bien sur, l'auteur voulant garder une fidélité du contexte historique, il devait donc trouver un moyen de laisser notre ami Tommy mourir tout en permettant au héros de réussir dans sa démarche. Et là on va attaquer le style de l’écrivain : j'ai trouvé ça plutôt appréciable pour être franc, assez fluide. L'action est bien dosé, l'intrigue est vraiment bien présentée, tout comme les retournements de situations. Enfin justement la fin du récit, avec la mort de Tommy malgré la réussite de l'entreprise de son sous-fifre est tout a fait justifié et apporte même une théorie du point de vue du mystère réel que pose l'arrestation et l’exécution de Cromwell. C'est d'ailleurs probablement la raison du prix décerné au livre. L'intrigue, tout comme les sous-intrigues, rendent particulièrement intéressant les personnages, nous permettant de mieux les "rencontrer". Ils gagnent ainsi en en profondeur, nous permettant de les apprécier et de se sentir concerné par leurs problèmes. En gros, le bonhomme sait écrire quoi. Et c'est bien. Les références au premier livre ne gênent pas, restant discrètes et ayant toujours une explication rapide et bien mise en place; il en va de même des références au contexte historique.
En bref, une histoire intéressante, bien écrite, ayant des moments inattendus. Il en va de même de l'Histoire qui entoure le livre. Si vous êtes tenté par une enquête dans un climat médiéval, avec des complots, dans un contexte ayant vraiment existé, et bien fonce ! C'est un très bon livre, vraiment ! Par contre, pas de sexe comme dans du GoT ! Pour ça, faudra repasser. Mais bon, comme tu le sais lecteur, l'important c'est d'avoir un livre au coin de l’écran.
Rédigé par Mortak.
Le livre, en premier, est, comme le titre de l'article l'indique si tu l'as lu, "Les larmes du Diable" de l'auteur C.J. Sansom. Le titre est en soit un indice de ce dont va traiter le bouquin, tout comme le titre original, "Dark Fire". Je n'ose même pas attendre de toi que tu sache quel est l'indice, je vais donc te le donner moi même: ce sont des surnoms du feu grégeois.
Je me doute que tu as vu Game Of Throne (Le Trône de Fer en français, toi qui ne connait que la version française, mécréant) et si tu as un minimum de gout, tu as lu GoT. Donc en tout état de cause (je te préviens, lecteur, voici un spoil) lors du siège de Port-réal, notre ami Tyrion-le-nain-qui-defonce-des-culs-et-n'est-pas-encore-mort défend la ville en utilisant les réserves de feu grégeois que le Roi Fou avait laissé en stock, en prévision de faire cramer la ville. Évidemment il ne l'a jamais fait puisqu'il s'est fait péter le cul (non sexuellement) par Jaime Lannister (qui était sensé être son garde). Bref, tu vois le feu qui crame les bateaux même sous l'eau? C'est ça, les Larmes du Diable.
Donc, pour le moment tu es sensé comprendre que le livre va évoquer, en gros, la mort, les flammes, le pouvoir royal et la religion. Si tu n'as pas compris, retourne deux paragraphes plus haut. Si tu veux du sexe, va voir GoT où les articles du Blond à Lunettes. Tu peut aussi écouter les lives "Radio Libre" de Benzaie sont aussi d'excellent vecteurs de connaissances relative au sexe. Pour revenir sur le contexte, car je présume que tu n'a pas cherché qui était Henry Tudor depuis le début de cet article, on le connait sous le nom de Henry VIII. Toujours rien ? Tu vois Barbe Bleu ? C'est un classique, si tu ne connais pas, va l'acheter à la plus proche librairie, celle à coté du bar Mitsva. Lis le et reviens nous. Toi, oui toi, qui connais Barbe Bleu, merci. Henry Tudor, c'est un des rois qui a inspiré le personnage (qui est inspiré de différents personnages réels au passage). C'est le roi qui avait la légère tendance négative de faire couper la tête de ses différentes femmes à la Tour de Londres. Brave homme, n'est-ce pas ? Il est connu aussi pour avoir dirigé le pays sous la Reforme. Hum, tu me désespère, lecteur.
La Reforme, c'est quoi ? Ne le nie pas, je le vois au fond de tes yeux à travers mon écran! Et ne me demande pas comment je le fais. Sache le juste. Le pays d'Angleterre a, dans les années 1500, décidé d'envoyer gaiment balader le pape. Mais genre vraiment, de manière un peu sale. Globalement, à cette époque, le protestantisme pointe son nez un peu partout et le roi d'Angleterre se dit que c'est le bon moment pour récupérer le contrôle de tout le pays (en devenant le chef religieux du bled) et au passage 1/3 du pays. Oui, 1/3 du pays. Pourquoi me dit tu ? C'est bien simple, en expropriant les religieux et religieuses du pays et de récupérer les domaines pour la couronne. Qu'il a ensuite refilé à ses sous fifres histoires d’être soutenu par l’élite. Qu'on soit d'accord, ce type là n'est pas un mec qui à la foi. Non, vraiment pas. Il a changé d’épouse pour des raisons simples: il en avait marre. Et la suivante lui apportait le soutien de la faction la plus intéressante du moment. Ainsi il a un moment Anne de Cléves qui soutien la reforme et à donc des appuis des réformistes. Puis il l'a tue. Et se met avec la nièce du Duc de Norfolk, Catherine Howard, conservatrice. Ça en fait des informations, hein ? Et on a pas entamé le livre encore ! Sache que j'aime ta souffrance.
Je vais m’arrêter là car je pourrais continuer des heures sur qui est le Duc de Norfolk, qui est Thomas Cromwell, Thomas More, Richard Rich, etc... Mais je sais, tu t'en fou. C'est un article sur un livre, par sur l'Histoire. Le truc que tu dois retenir, c'est que dans les années 1500 c'est la merde. Notre héros est un avocat bossu, travaillant pour Cromwell (Wikipédia est ton ami), ce qui ne l’enchante pas énormément mais bon, vu le patron, tu ne dis pas non. Tu peux dire non, hein, mais tu en meurt. Donc les gens ont tendances à dire oui. Dans le premier tome, qui s'appelle Dissolution, notre héros va avoir une affaire à résoudre dans un monastère au début de la reforme. Il appartient d'ailleurs aux réformateurs, tout comme Tommy (notre ami Cromwell, autant lui donner un surnom, c'est plus agréable). Ne l'ayant pas lu, je ne donne pas d'avis ; notons tout de même qu'il a obtenu le prix "Ellis Peters" (tu ne connais pas? Inculte.) pour le livre que nous traitons aujourd'hui, et je pense donc, surtout au vu du style d’écriture du tome 2, que cela ne doit pas être trop mal. Dans le-dit tome, donc, notre avocat bossu se voit dans l'obligation rapide de trouver le feu grégeois. En effet un employé de la Cour des Augmentations, l'organisme chargé de répertorier les biens de l’Église en Angleterre et de les vendre au profit de la couronne, trouve par hasard un baril de feu grégeois (qui à ce stade aurait une apparence de goudron noir un peu dégueux, mais vu qu'on ne sait plus en faire on sait pas vraiment en fait) et une page contenant la recette (perdue depuis la chute de Constantinople quand même!). Évidemment, l'employé décide d'en profiter et fais miroiter le "feu noir" à Tommy. Qui en parle au roi. Qui lui demande une démonstration. Qu'il ne peut pas réaliser à cause de la disparition du premier gus. Dommage, hein ?
C'est donc durant l'été 1540 que notre avocat se voit assigner cette mission délicate de retrouver le disparu et surtout les larmes du diable. Lecteur, je te préviens, voici le spoil ultime du livre, fuis loin, loin d'ici dans ce lieu magnifique qu'on appelle les livres et lis moi ce livre avant de revenir. Shardlacke, notre avocat bossu, va tomber sur un pot aux roses et comprendre que Tommy est en fait le jouet d'un complot visant à le faire tomber au profit du Duc de Norfolk. Bien qu'il mette pas mal de temps à s'en rendre compte, l'auteur arrivant très brillamment à nous surprendre et à nous perdre dans son récit et cette course contre la montre, quand il trouve la solution de l’énigme et qu'il l'a livre (jeu de mot avec la monnaie du pays) au conseiller le plus proche de Tommy, qu'on s'attend tous à une fin heureuse... Tommy est exécuté. Oui. En effet, dans l'Histoire, le vraie avec le H majuscule, Tommy est arrêté en plein conseil (il est premier ministre du pays, je te le dit à toi lecteur qui ne connait pas Tommy et n'a pas cherché qui il était) pour haute trahison et meurt quelques temps après. Sauf qu'aujourd'hui encore, on ne sait pas trop pourquoi. La raison la plus probable est que notre camarade Henry en à juste eut marre des réformistes, qui perdent du pouvoir en Angleterre au profit des conservateurs, et comme à son habitude choisit la voie rapide : la décapitation !
Un problème, un élément gênant de votre entourage, une femme récalcitrante, ou juste moche ? Choisit la méthode Tudor, choisit la décapitation !
Condition d'utilisation au dos de la hache fournit dans le pack "Ami","Mégère","Thon" et dans le pack spécial "Découverte".
Bien sur, l'auteur voulant garder une fidélité du contexte historique, il devait donc trouver un moyen de laisser notre ami Tommy mourir tout en permettant au héros de réussir dans sa démarche. Et là on va attaquer le style de l’écrivain : j'ai trouvé ça plutôt appréciable pour être franc, assez fluide. L'action est bien dosé, l'intrigue est vraiment bien présentée, tout comme les retournements de situations. Enfin justement la fin du récit, avec la mort de Tommy malgré la réussite de l'entreprise de son sous-fifre est tout a fait justifié et apporte même une théorie du point de vue du mystère réel que pose l'arrestation et l’exécution de Cromwell. C'est d'ailleurs probablement la raison du prix décerné au livre. L'intrigue, tout comme les sous-intrigues, rendent particulièrement intéressant les personnages, nous permettant de mieux les "rencontrer". Ils gagnent ainsi en en profondeur, nous permettant de les apprécier et de se sentir concerné par leurs problèmes. En gros, le bonhomme sait écrire quoi. Et c'est bien. Les références au premier livre ne gênent pas, restant discrètes et ayant toujours une explication rapide et bien mise en place; il en va de même des références au contexte historique.
En bref, une histoire intéressante, bien écrite, ayant des moments inattendus. Il en va de même de l'Histoire qui entoure le livre. Si vous êtes tenté par une enquête dans un climat médiéval, avec des complots, dans un contexte ayant vraiment existé, et bien fonce ! C'est un très bon livre, vraiment ! Par contre, pas de sexe comme dans du GoT ! Pour ça, faudra repasser. Mais bon, comme tu le sais lecteur, l'important c'est d'avoir un livre au coin de l’écran.
Rédigé par Mortak.
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